Dupain, Djé Baleti, Antoine Loyer, Minors, Angelfish Decay et Ladyboy… Un avant goût de ce que vous découvrirez du 9 au 27 novembre à l’Alimentation générale.
9 NOVEMBRE
DJE BALETI
« Le premier album de Djé Balèti ressemble à une petite planète que l’on aurait secouée en tous sens jusqu’à en brouiller le moindre repère culturel ou géographique. Du blues touareg à la tarantelle italienne, des musiques caribéennes au folk nissart, le trio toulousain emprunte à tous les styles pour ne se concentrer que sur le sien, rock de toutes les origines qui mêle le français et l’occitan dans un bal populaire chaleureux et bariolé. » (Les Inrocks)
DUPAIN
23 NOVEMBRE
ANTOINE LOYER « Hors la métrique, hors la rime, A.L. bouleverse les formes, les structures, se passe le plus souvent des répétitions, se manifeste dans un patois à énigmes, recréé une ponctuation ordonnée d’étoiles, d’espaces, de croix, de tirets, parenthèses, apostrophes qui prennent valeur de mots et identité visuelle, il traduit de français à français. »
MINORS Minors, sextet percussif de folk chorale, explore la liberté d’avancer, sans se retourner. Aux chants extatiques, aux percussions tribales, s’ajoutent violoncelle et contrebasse, guitare classique et claviers, dont les volutes harmonieuses accompagnent, enveloppent avec ferveur ces pulsations riches et exaltées. C’est après une courte pause, et avec dans leurs bagages 2 disques très bien accueillis et un troisième en préparation, que Minors reprends le chemin de la scène, proposant de nouveaux titres, mais aussi une nouvelle formule live.
27 NOVEMBRE
LADYBOY
Une aventure sensible où les mots susurrent de tendres mélancolies sur des mélodies aux teints troublés…LadyBoy, un projet audacieux d’Olivier Hazemann auteur,compositeur, interprète, producteur et ex-membre du duo Hip Hop Parisien Kalash…
ANGELFISH DECAY
Un quatuor à cordes amplifié au bord de la crise de nerfs, du chant (en anglais et à 2 têtes) entre tribalité et somnambulisme et décollant parfois pour de vraies envolées lyriques, les pulsation implacable d’une drums machine réchauffées par de vraies percus. Entre le post modernisme de Micheal Nyman (d’un titre duquel le groupe a fait son nom), l’electro hybride et sous hautes influences du LCD sound system, et l’art-pop/rock du Brian Eno des late 70’s (celui des collaborations avec Bowie ou les Talking Heads).
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